dimanche 30 novembre 2008

Analyse psychologique des usagers du transport en commun

J'ai réfléchi à quelquechose récemment...

Les différents types de transport en commun sont bourrés de convention. Celle dont je veux traiter consiste à la convention reliée à la sélection d'un siège. En effet, choisir le lieu de repos de nos jambe n'est pas une simple affaire. Il faut, lorsque possible, éviter à tout prix de s'asseoir directement à côté d'un inconnu. En effet, il faudra laisser une place libre entre chaque utilisateur (voir figure 1). C'est un comportement que l'on retrouve partout: dans la bus, le métro, le taxi-bus (pour les Rimouskois) et même les urinoirs (mais ça, c'est une autre histoire, les règles non-écrites étant beaucoup plus sévères).

figure 1

Cependant, lorsque, par exemple, l'autobus devient trop rempli, les sièges non disponibles le deviennent alors. C'est là que tout se complique. En effet, si je dois m'asseoir entre deux utilisateurs, l'espace que j'occupe est bien mesuré. J'essaie de ne pas occuper trop d'espace afin de ne pas entrer dans l'espace vital des voisins de siège, sans toutefois entrer dans un extrême et me gêner moi-même (faut quand même que jrespire, baptême!).

Si l'un des sièges voisins se libère, la convention exige que je doive me déplacer si je peux respecter celle-ci. Par exemple, il y a Paul V. qui est assis directement à côté de moi et Lara C. de l'autre côté (figure 2). Paul V. quitte l'autobus, libérant le siège. Si je peux me déplacer sur ce siège et que cela permettait de respecter la convention (deux sièges libres à mes côtés), je me dois de le faire (figure 3).

figure 2
figure 3

Cette opération doit toutefois se faire avec une certaine minutie. Il ne faut pas se déplacer vers le siège libre trop rapidement, afin de ne pas brusquer le voisin (celui de gauche dans la figure 3). Il ne faut pas non plus trop attendre, de peur de laisser paraître un malaise. Ainsi, d'après mes études, j'ai estimé le temps disponible pour se déplacer à t>=4 | <=6.5 secondes suivant le départ de l'utilisateur (ou Paul V.). De plus, j'ai remarqué qu'une fois déplacé, il est d'usage de prendre plus de place que sur le siège précédent (figure 4). Si la personne qui se déplace possède un sac, il sera apprécié de le déposer sur un des deux sièges libres.

figure 4

Je me suis interrogé sur les motifs reliés à ce comportement. Pourquoi la personne qui se déplace ressent-elle la nécessité de prendre plus de place? On peut tout d'abord penser qu'elle préfère prendre plus d'espace. Or, les motivations vont plus loin que ça. En effet, si elle prend plus de place, c'est surtout pour justifier le déplacement qu'elle vient de faire. Elle ne veut pas que la personne dont elle s'éloigne se sente désagréable, inhospitalière en tant que voisin de siège. En d'autres mots, on veut pas qu'elle se dise "Sacrament, elle s'enfuie tu de moi coudonc? C'est-y parce que je pue?". En prenant plus de place, on démontre ainsi au voisin qu'on avait besoin de plus d'espace (ce qui n'est pas nécessairement le cas). Après mure réflexion, j'en ai déduit que ce comportement ne devrait pas avoir lieu: dans lfond, si on se déplace, c'est tout simplement parce qu'on veut respecter la bulle de l'autre... On n'a donc pas à se justifier de ce déplacement.

Bref, à l'avenir, la prochaine fois que vous allez changer de place dans un taxi ou un métro parce qu'une place se libère, ne justifiez pas votre déplacement en prenant plus de place, à moins que vous en sentiez le besoin. Vous n'aurez donc plus à vous morfondre chaque fois que vous vous déplacez, et, comme moi maintenant, vous allez enfin pouvoir dormir en paix.

Heureux d'améliorer votre quotidien par cette analyse en profondeur, et à la prochaine!


P.S.: Le gars dans la bus qui n'a qu'un demi-bras, je le sais pas ce qu'il a eu, jparle rarement aux autres usagers. (Ça fera l'objet d'un autre article... à moins que je ne vous épargne:P)

jeudi 27 novembre 2008

Je suis geek.

Pour ceux qui me connaissent bien, je ne leur apprend rien. Mais pour les autres, précisons:
Il y a, selon moi, trois principales sortes de geek.
  1. Le geek technique
  2. Le geek gamer
  3. Le geek internet
Le geek technique, c'est celui qui connait tous les trucs. Il connait tous les raccourcis dans tous les programmes, il connait le C++, le java, etc. Il conçoit des sites internet et peut débuguer n'importe quelle ordinateur. S'il a de l'argent, il aura un iphone ou tout gadget similaire, sinon, il planifie d'en acheter un. Bref, il vous en faut au moins un dans votre cercle d'amis.

Le geek gamer, pas besoin de faire un gros dessin. On l'appelle plus souvent par son pseudo que par son vrai nom. Sa vie, c'est WoW et/ou tout jeux similaires. La nuit, il va rêver à son personnage. En faite, il rêve qu'il est son personnage. Son horaire est souvent constitué de temps consacré au jeux vidéo, à l'hygiène et à l'alimentation. Les deux derniers pouvant souvent être oubliés. Si vous habitez/tiez à Rimouski, vous pouvez les retrouver facilement au Centre Multimédia.

Le geek internet, c'est celui qui n'a pas les plus grandes compétences en matière d'informatique, et qui ne game pas tant que ça. Par contre, il connaîtra tous les mèmes (wiki).

Il y a d'autres types secondaires de geek, comme le geek facebook, le geek msn, ou tout autre geek relié à d'autres domaines (musique, littérature, politique, etc.)

Moi, je suis un geek #3. Je joue à des petits jeux batards, où l'on fait attaquer des chevaliers qu'on ne voit pas (ou qui sont représenté par un dessin souvent fait par Paint) afin de gagner des gems et de l'xp. J'ai déjà installé Linux, mais je l'ai désinstaller étant donné que je n'ai pas les compétences d'un geek #1. Je connais tous les mèmes, je visite souvent plusieurs fois par jour les linkdumps (poil.ca, reddit, stumple upon, etc.). Je connais que trop d'anecdotes inutiles, comme la fille qui est allergique à l'eau. Les histoires comme le trombone rouge, je vais être dans les premiers à les connaître.

L'internet me bouffe trop de temps. Au moins, ça n'en ai pas pathétique. Il n'y a pas de mal à être geek selon moi, tant qu'on ne s'empêche pas de faire autre chose. Là, ça peut être dangeureux. On n'a qu'à penser aux camps de désintoxication de l'internet que l'on peut retrouver en Chine. Bref, faut que je fasse attention à ça, je tiens trop à ma vie sociale ;)

mercredi 26 novembre 2008

J'ai découvert quelquechose hier. En surfant sur le net, j'ai appris que parmi les nombreux personnages crées par Disney, il y en avait un qui fut, disons, "supprimer". En fait, il n'a jamais exister. Pourtant, certain se souvenait bel et bien d'un centaure noir, dénommé "Sunflower", dans la version originale de Fantasia. Pourtant, dans la nouvelle version, il n'y est pas.



En réfléchissant longuement aux motifs ayant conduit à la disparition du personnage, j'en ai conclu que Disney, étant toujours à l'affut des nouvelles scientifiques et technologiques afin de revenir au même niveau que Pixar, s'est mis à s'inquiéter de plus en plus la physique moderne. En effet, comme vous vous en doutez, je parle ici précisément de la matière noire.

Tséveuxdire, pour la plupart des mortels le terme "matière noire" fait affreusement peur... C'est un terme mystérieux, qui fait référence à l'inconnu, digne des pires films science-fiction/horreur. Pis bon, faut pas la tête à Papineau pour comprendre que l'inconnue est l'essence même de la peur. Vous n'avez qu'à regarder les différentes religions pour comprendre que c'est ça qui ont fait leur popularité. Mais bon, je m'éloigne du sujet. Pour revenir à mon hypothèse, je disais donc que Disney, comme à peu près tout le monde ici, a peur de la matière noire. Et qui fut la première victime de la phobie de Disney? Le p'tit centaure noir.

Maintenant qu'une expérience aurait récemment prouvé l'existence de la matière noire, je suis prêt à mettre un 10 que les autres victimes de Disney ne vont pas tarder. Regardez ben Mickey mouse, jsuis pas mal sur que sa peau ne sera plus noire encore bien longtemps...

Oui, la matière noire pourrait bel et bien exister. Mais il n'y a aucune raison de s'inquièter. AUCUNE. Là vous allez me dire que je tiens le même discours que Stephen Harper par rapport à l'économie. Ce n'est pas du tout pareil! La crise économique, on ne peut plus la cacher, il faut agir! Mais la matière noire a toujours exister et sa présence ne changera rien à notre vie quotidienne. Je le répète: IL N'Y A AUCUNE RAISON DE S'INQUIÉTER. Croyez-moi. Sinon, des cas comme le p'tit centaure noir, il risque d'en avoir d'autre. Si vous ne voulez pas que Corneille, Anthony Kavanagh, Gregory Charles et Barack H. Obama disparaissent, ne craignez pas la matière noire!

Pour vous aider à réfléchir sur ces propos, je vous laisse sur une photo de moi et la Saccharomyces Cerevisiae, la bactérie qui récupère des piles.




mardi 25 novembre 2008

Me revoilà!

Salut tout le monde!

Après pimv, mon premier blog que je pourrais qualifié de... douteux, après armerlessansabris, blog dont la passion s'est éteinte, voilà un troisième blog: le blog lego! Ok, jeu de mot poche, je vous l'accorde. Mais bon. Depuis quelques temps, il m'est arrivé à quelques reprises d'avoir envie de partager mon opinion, de vous donner des nouvelles, ou carrément de montrer des conneries pures et simple. J'ai donc décidé de me relancer dans la sphère blogulaire, mais simplement pour moi-même. Jvous aurai averti: je vais écrire seulement quand j'en ai envie. Ce blog là pourrait être bourré de post publier quotidiennement ou, au contraire, voir apparaître un message une fois tous les solstices...

Bref, j'ai aucune idée de l'avenir réservé à ce blog, mais tout ce que je sais, c'est que le débat des chefs ne m'a pas du tout accroché ce soir. J'aimais encore mieux les répliques de Françoise David en direct sur son site internet que de voir tout le monde s'acharner sur les autres, comme à l'image du reste de la campagne. Vivement la racinette flatte qui traîne dans le frigo depuis un mois et demi 'n' rhum.

Sur ce, je vous laisse sur une citation et une pub du PQ que j'ai bien aimé:

"Moi jpense que l'avenir économique du Québec passe par le tourisme sexuel."
-Jean-Raphaël Boudreault